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Dossier Spécial | Démarche RSE – Épisode 2 : Comprendre les 7 questions centrales

Après avoir introduit la démarche RSE dans notre premier épisode, plongeons-nous dans le cœur du sujet : les 7 questions centrales de l’ISO 26000. Ces questions, interdépendantes, forment une approche holistique, englobant la majorité des sujets sociétaux. Leur maîtrise permet d’atteindre un équilibre des intérêts des différentes parties prenantes et de définir un projet de performance durable.

Cette représentation a pour objet de montrer qu’il s’agit d’une démarche globale (holistique) qui engage une majorité des sujets sociétaux. De même, il montre l’interdépendance des questions centrales. La finalité de l’organisation qui prend en compte ces questions centrales est d’aboutir à un équilibre des intérêts des différentes parties prenantes et de pouvoir définir un projet de performance durable.

Dans la norme, pour chaque question centrale sont associés des domaines d’action. Au total, 36 domaines d’actions définissent les préconisations de mise en œuvre. Seule la gouvernance échappe à la règle.

Les 36 domaines d’actions d’une démarche RSE

Question centrale n°1 de la démarche RSE : La Gouvernance

La gouvernance occupe une place centrale dans la démarche RSE. Elle symbolise le cœur battant de toute entreprise, représentant sa structure décisionnelle. C’est à travers cette structure que l’entreprise définit ses orientations, prend des décisions cruciales et met en œuvre des stratégies pour atteindre ses objectifs.

La définition de la gouvernance est simple mais profonde : « C’est le système par lequel une organisation prend des décisions et les met en action pour réaliser ses ambitions. » Cette définition met en lumière l’importance d’une structure solide et bien définie pour guider l’entreprise vers la réussite.

Trois éléments clés composent la gouvernance :

  1. L’organisation hiérarchique : Elle détermine qui détient le pouvoir décisionnel à différents niveaux de l’entreprise. Cela garantit que chaque décision est prise par les personnes les plus compétentes et informées.
  2. Le cycle de décisions : Il s’agit du processus par lequel les décisions sont prises, de l’identification d’un problème ou d’une opportunité à la mise en œuvre d’une solution ou d’une stratégie.
  3. La répartition des responsabilités et autorités : Cela garantit que chaque membre de l’organisation sait exactement quel est son rôle, ce qui est attendu de lui et à qui il doit rendre des comptes.

Pour que la gouvernance soit efficace, elle doit remplir trois critères essentiels :

  • Elle doit améliorer continuellement le système de management de l’entreprise, garantissant que l’organisation reste agile, réactive et efficace.
  • Elle doit clairement définir et intégrer une dimension responsable, assurant que l’entreprise opère de manière éthique et durable.
  • Elle doit être organisée en tenant compte des relations avec toutes les parties prenantes, garantissant que toutes les voix sont entendues et que toutes les préoccupations sont prises en compte.

Bien que la norme ISO 26000 ne consacre que deux pages à la gouvernance, son importance ne peut être sous-estimée. La gouvernance est le pilier sur lequel repose tout le système de management d’une organisation. Sans une gouvernance solide, une entreprise risque de perdre sa direction, sa vision et, finalement, sa raison d’être.

Question centrale n°2 de la RSE : Les Droits de l’Homme (droits humains)

Les Droits de l’Homme, pierre angulaire de la justice et de l’égalité, sont au cœur de la démarche RSE. Ces droits, universellement reconnus, trouvent leur fondement dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, adoptée par les Nations Unies en 1948. Pour la France, cette déclaration n’est pas seulement un document historique ; elle est le reflet de ses valeurs fondamentales, au point d’être le préambule de sa constitution.

La RSE, en mettant l’accent sur les Droits de l’Homme, souligne l’importance de ces droits dans le monde des affaires. Elle identifie huit domaines d’action essentiels :

  1. Devoir de vigilance : Les entreprises doivent être proactives dans la surveillance et la prévention des violations des droits de l’homme dans leurs opérations et leur chaîne d’approvisionnement.
  2. Situations présentant un risque pour les droits de l’Homme : Il est crucial d’identifier et de gérer les situations où les droits de l’homme peuvent être menacés, que ce soit à cause de conflits, de conditions de travail ou d’autres facteurs.
  3. Prévention de la complicité : Les entreprises doivent s’assurer qu’elles ne sont pas complices, directement ou indirectement, de violations des droits de l’homme.
  4. Remédier aux atteintes aux droits de l’Homme : Si des violations sont identifiées, des mesures correctives doivent être prises rapidement.
  5. Discrimination et groupes vulnérables : Une attention particulière doit être accordée à la protection des groupes vulnérables et à la prévention de toute forme de discrimination.
  6. Droits civils et politiques : Ces droits, tels que la liberté d’expression et le droit à un procès équitable, doivent être respectés et promus.
  7. Droits économiques, sociaux et culturels : Ces droits englobent des aspects tels que le droit à l’éducation, à la santé et à la culture.
  8. Principes fondamentaux et droits du travail : Ils garantissent des conditions de travail équitables, la liberté syndicale et l’élimination du travail forcé et du travail des enfants.

En France, où le respect des droits de l’homme est profondément ancré dans la culture et la législation, cette question centrale de la RSE permet aux entreprises de valoriser leurs bonnes pratiques existantes. Cependant, il est essentiel de se rappeler que la norme ISO 26000 est universelle. Dans certains pays, les droits de l’homme ne sont pas aussi fermement établis. Ainsi, la RSE joue un rôle crucial en établissant une norme internationale pour le respect et la promotion des droits de l’homme dans le monde des affaires.

Question centrale n°3 de la RSE : Relations et conditions de travail

Dans le monde des affaires moderne, le capital humain est reconnu comme un élément essentiel de la réussite et de la performance d’une entreprise. Les employés, avec leurs compétences, leur dévouement et leur passion, sont le moteur qui propulse une organisation vers le succès. Il est donc impératif de valoriser et de respecter ce capital précieux.

Le respect du capital humain ne se limite pas à offrir des salaires compétitifs ou des avantages sociaux. Il s’agit d’une approche holistique qui englobe plusieurs aspects :

  1. Dialogue social : La communication ouverte entre la direction et les employés est cruciale. Elle permet de comprendre les préoccupations des employés, de recueillir des feedbacks et d’instaurer un climat de confiance.
  2. Droit à constituer des organisations représentatives : Les employés doivent avoir le droit de se regrouper, de former des syndicats ou d’autres organisations pour représenter leurs intérêts.
  3. Information sur les changements à venir : Les employés doivent être informés à l’avance des changements majeurs qui pourraient affecter leur travail, qu’il s’agisse de restructurations, de nouvelles politiques ou de changements technologiques.
  4. Implantations respectueuses des droits : Lors de l’expansion ou de la relocalisation, les entreprises doivent choisir des lieux qui respectent les droits des travailleurs et offrent des conditions de travail équitables.

Les cinq domaines d’action identifiés pour cette question centrale sont :

  • Emploi et relations : Cela concerne la création d’emplois, les contrats de travail, les relations entre employeurs et employés, et la gestion des conflits.
  • Conditions de travail et protection sociale : Cela englobe les horaires de travail, les salaires, les congés, les avantages sociaux et autres conditions qui affectent le bien-être des employés.
  • Dialogue social : Il s’agit de promouvoir une communication ouverte entre la direction et les employés, y compris les négociations avec les syndicats.
  • Santé et sécurité au travail : Les entreprises doivent garantir un environnement de travail sûr, prévenir les accidents et protéger la santé des employés.
  • Développement du capital humain : Cela implique la formation continue, le développement professionnel et la croissance personnelle des employés.

En France, grâce à un cadre juridique solide et à une tradition de respect des droits des travailleurs, de nombreuses entreprises sont déjà en phase avec ces domaines d’action. Le droit social français, avec ses normes élevées en matière de sécurité et de formation, offre un excellent point de départ pour les entreprises qui cherchent à exceller dans le domaine des relations et conditions de travail.

Question centrale n°4 de la RSE : L’environnement

L’environnement est devenu un sujet incontournable pour les entreprises du XXIe siècle. Face aux défis croissants du changement climatique, de la perte de biodiversité et de la pollution, les entreprises sont de plus en plus conscientes de leur rôle et de leur responsabilité dans la protection de notre planète.

De nombreuses entreprises, qu’il s’agisse de grandes multinationales ou de petites start-ups, ont fait de la durabilité environnementale une priorité. Les associations d’entreprises et les groupements « responsables » sont souvent à la pointe de cette transformation, adoptant des pratiques respectueuses de l’environnement bien avant qu’elles ne deviennent courantes.

Parmi les initiatives majeures adoptées par les entreprises, citons :

  • Économie d’énergie : De la modernisation des équipements à la transition vers des sources d’énergie renouvelables, les entreprises cherchent à réduire leur consommation d’énergie et leur empreinte carbone.
  • Éco-conception : Il s’agit de concevoir des produits de manière à minimiser leur impact environnemental tout au long de leur cycle de vie.
  • Diminution de l’empreinte environnementale : Cela englobe tout, de la réduction des déchets à la minimisation de l’utilisation de l’eau.
  • Circuit court : Favoriser les fournisseurs locaux pour réduire les émissions liées au transport et soutenir les économies locales.
  • Recherche de matières premières alternatives : Que ce soit pour remplacer les matériaux non durables ou pour trouver des substituts plus écologiques.
  • Préoccupation du cycle de vie : Analyser l’impact environnemental d’un produit de sa conception à sa fin de vie.
  • Achats responsables : Choisir des fournisseurs qui respectent également des normes environnementales élevées.

Les médias du monde entier mettent régulièrement en avant les questions environnementales, soulignant l’urgence d’agir. La réglementation, en particulier dans des pays comme la France, encourage également les entreprises à adopter des mesures proactives pour protéger l’environnement.

Les quatre domaines d’action identifiés reflètent ces préoccupations :

  • Prévention de la pollution : Il ne s’agit pas seulement de nettoyer après coup, mais de mettre en place des mesures pour éviter la pollution dès le départ.
  • Utilisation durable des ressources : Cela signifie utiliser les ressources de manière à ne pas épuiser ou endommager les écosystèmes.
  • Atténuation des changements climatiques et adaptation : Prendre des mesures pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et s’adapter aux changements climatiques inévitables.
  • Protection de l’environnement, biodiversité et réhabilitation des habitats naturels : Veiller à ce que les activités commerciales ne nuisent pas à la faune, à la flore ou aux écosystèmes et, si possible, contribuer à leur restauration.

Finalement, la question de l’environnement dans la RSE est un appel à l’action pour les entreprises. Il s’agit de reconnaître leur impact et de prendre des mesures pour créer un avenir plus vert et plus durable.

Question centrale n°5 de la RSE : Loyauté des pratiques

La loyauté des pratiques est un pilier essentiel de la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE). Elle vise à garantir que les entreprises opèrent avec intégrité, transparence et éthique dans toutes leurs interactions, qu’il s’agisse de relations avec les clients, les fournisseurs, les employés ou la société dans son ensemble.

  • Lutte contre les conflits d’intérêts : Les conflits d’intérêts peuvent survenir lorsque les intérêts personnels d’un individu ou d’une organisation entrent en conflit avec leurs responsabilités professionnelles. Les entreprises doivent mettre en place des politiques claires pour identifier, divulguer et gérer ces conflits.
  • Éviter les comportements inappropriés : La manipulation, l’intimidation et la coercition n’ont pas leur place dans une entreprise responsable. Ces comportements peuvent nuire à la réputation de l’entreprise, à sa culture interne et à ses relations avec les parties prenantes.
  • Soutenir les décisions bénéfiques pour la société : Les entreprises doivent être conscientes de l’impact de leurs décisions sur la société dans son ensemble et s’efforcer de prendre des décisions qui bénéficient à la fois à l’entreprise et à la communauté.
  • Formation des salariés : La formation est essentielle pour garantir que tous les employés comprennent l’importance de la loyauté des pratiques et savent comment agir conformément aux valeurs et aux politiques de l’entreprise.
  • Transparence : Les entreprises doivent être ouvertes et honnêtes dans leurs communications, en particulier lorsqu’elles traitent avec des groupes de pression ou s’engagent dans des activités politiques.
  • Politique de communication claire : Une communication claire et sincère renforce la confiance des parties prenantes et garantit que l’entreprise est perçue comme authentique et crédible.
  • Concurrence loyale : Les entreprises doivent s’efforcer de concourir sur un pied d’égalité, sans recourir à des pratiques déloyales ou anticoncurrentielles.

Les cinq domaines d’action identifiés reflètent l’importance de la loyauté des pratiques dans la RSE :

  1. Lutte contre la corruption : La corruption peut avoir des conséquences dévastatrices pour les entreprises et la société. Les entreprises doivent mettre en place des mesures pour prévenir, détecter et traiter la corruption sous toutes ses formes.
  2. Engagement politique responsable : Les entreprises peuvent s’engager dans la politique, mais elles doivent le faire de manière transparente et éthique.
  3. Concurrence loyale : Les entreprises doivent respecter les règles de la concurrence et s’abstenir de pratiques déloyales.
  4. Promotion de la responsabilité sociétale dans la chaîne de valeur : Les entreprises doivent s’assurer que leurs fournisseurs et partenaires respectent également des normes éthiques élevées.
  5. Respect des droits de propriété : Les entreprises doivent respecter les droits de propriété intellectuelle et physique d’autrui.

En somme, la loyauté des pratiques est au cœur de la RSE. Elle garantit que les entreprises opèrent avec intégrité et éthique, renforçant ainsi leur réputation et leur position sur le marché.

Question centrale n°6 : Questions relatives aux consommateurs

Dans le monde des affaires d’aujourd’hui, les consommateurs sont plus que jamais au cœur des préoccupations. Avec l’essor de la technologie et l’accès à l’information, les consommateurs sont mieux informés et ont des attentes plus élevées en matière de qualité, de transparence et d’éthique de la part des entreprises. C’est dans ce contexte que la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) prend tout son sens, en plaçant les droits et les besoins des consommateurs au premier plan.

  • Traçabilité : Les consommateurs veulent savoir d’où viennent les produits qu’ils achètent. La traçabilité garantit que les produits sont suivis tout au long de la chaîne d’approvisionnement, offrant une transparence sur leur origine et la manière dont ils ont été produits.
  • Information transparente : Les entreprises doivent fournir des informations claires, précises et accessibles sur leurs produits, permettant aux consommateurs de prendre des décisions éclairées.
  • Promotion de la consommation durable : Encourager les consommateurs à adopter des habitudes de consommation durables, en choisissant des produits qui ont un impact environnemental réduit ou qui sont produits de manière éthique.
  • Éducation : Les entreprises ont un rôle à jouer dans l’éducation des consommateurs, en les informant sur les meilleures pratiques, les innovations et les avantages des produits ou services qu’elles offrent.
  • Services associés à la vente : Au-delà du simple acte d’achat, les entreprises doivent offrir des services qui renforcent la relation avec le consommateur, qu’il s’agisse de garanties, de programmes de fidélité ou d’assistance.
  • Protection de la vie privée : Dans un monde numérique, la protection des données personnelles est primordiale. Les entreprises doivent garantir que les informations des consommateurs sont stockées en toute sécurité et ne sont pas utilisées à mauvais escient.

Les sept domaines d’action reflètent l’importance de placer le consommateur au cœur de la démarche RSE :

  1. Pratiques loyales : Assurer que les informations fournies aux consommateurs sont exactes, que les contrats sont équitables et que les droits des consommateurs sont respectés.
  2. Protection de la santé et de la sécurité : Garantir que les produits ou services offerts ne présentent pas de risques pour la santé ou la sécurité des consommateurs.
  3. Consommation durable : Encourager les consommateurs à adopter des habitudes de consommation qui ont un impact positif sur l’environnement et la société.
  4. Service après-vente : Offrir un support continu aux consommateurs après l’achat, qu’il s’agisse de réparations, de retours ou de réclamations.
  5. Protection des données : Assurer que les informations personnelles des consommateurs sont traitées avec le plus grand soin et respect.
  6. Accès aux services essentiels : Veiller à ce que tous les consommateurs, quelle que soit leur situation, aient accès aux services essentiels.
  7. Éducation et sensibilisation : Informer et éduquer les consommateurs sur les enjeux liés à la consommation, aux produits et aux services offerts.

En fin de compte, une entreprise qui place les besoins et les droits des consommateurs au cœur de sa stratégie RSE est non seulement éthique, mais aussi plus susceptible de gagner la confiance et la fidélité de ses clients.

Question centrale n°7 de la démarche RSE : Questions relatives aux communautés et développement local

La Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) ne se limite pas à la simple gestion interne d’une entreprise. Elle englobe également la manière dont une entreprise interagit avec sa communauté et son environnement local. Le terme « Sociétale » dans RSE souligne l’importance de cette interaction. Il s’agit de reconnaître et de répondre aux besoins de la société dans son ensemble, et pas seulement aux intérêts économiques à court terme.

  • Éducation, culture, sport, associations caritatives, formations : Ces domaines sont essentiels pour le développement d’une communauté. Une entreprise qui soutient l’éducation peut contribuer à former la prochaine génération de travailleurs qualifiés. En soutenant la culture et le sport, elle peut aider à enrichir la vie de la communauté et à promouvoir un mode de vie sain. Les associations caritatives jouent un rôle crucial dans l’aide aux plus démunis, et les entreprises peuvent les soutenir par des dons ou du bénévolat.
  • Engagement basé sur des valeurs humaines : Au-delà des profits et des chiffres, les entreprises ont une responsabilité morale envers leur communauté. Cela peut se traduire par la création de fondations, le parrainage d’événements locaux, ou même des initiatives simples comme l’achat de matériel pour une école locale. Ces actions montrent que l’entreprise ne voit pas la communauté simplement comme un marché, mais comme un partenaire.

Les 7 domaines d’action reflètent cette approche holistique :

  1. Implication auprès des communautés : Participer activement à la vie de la communauté, que ce soit par le biais de programmes de bénévolat, de partenariats avec des organisations locales ou de soutien à des initiatives communautaires.
  2. Éducation et culture : Soutenir les institutions éducatives et culturelles, que ce soit par des bourses d’études, des programmes de formation ou des partenariats avec des institutions culturelles.
  3. Création d’emploi et développement des compétences : Offrir des opportunités d’emploi locales et investir dans la formation pour assurer que la main-d’œuvre locale a les compétences nécessaires pour réussir.
  4. Développement des technologies et accès à la technologie : Assurer que la communauté a accès aux dernières technologies, que ce soit par des initiatives d’éducation technologique ou des partenariats avec des startups locales.
  5. Création de richesse et de revenus : Contribuer à l’économie locale en faisant des affaires avec des fournisseurs locaux et en investissant dans des initiatives qui génèrent des revenus pour la communauté.
  6. Santé : Soutenir la santé de la communauté, que ce soit par des programmes de bien-être, des partenariats avec des hôpitaux locaux ou des initiatives de santé publique.
  7. Investissement dans la société : Reconnaître que le succès à long terme de l’entreprise est lié au bien-être de la société dans son ensemble et investir en conséquence.

Pour finir, une entreprise qui s’engage véritablement envers sa communauté et son développement local ne fait pas seulement ce qui est juste sur le plan moral, elle investit également dans son propre avenir à long terme.

Conclusion

Chaque entreprise, quelle que soit sa taille ou son secteur d’activité, a un rôle à jouer dans la construction d’un monde meilleur et plus durable. En comprenant et en intégrant ces sept questions centrales de l’ISO 26000, elle s’engage sur une voie de progrès et de responsabilité. L’entreprise établit un dialogue constructif avec ses parties prenantes, garantissant ainsi une démarche RSE solide et bien ancrée. Ces principes, bien que généraux, fournissent un cadre robuste pour aligner les activités de l’entreprise sur une voie durable.

Restez à l’affût de notre prochain épisode, où nous détaillerons la gouvernance et proposerons des actions concrètes pour la mettre en œuvre efficacement.

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