Etudes de cas

Etude de Cas Marks & Spencer – Le Marketing pour une consommation durable

Marks & Spencer a placĂ© la durabilitĂ© au cƓur de ses activitĂ©s.

Aperçus clés

  • Pour Marks & Spencer (M&S), se mettre au vert signifie non seulement transformer chaque partie de son activitĂ©, mais aussi essayer de changer les attitudes et les comportements de ses 25 millions de clients.
  • Une approche en trois Ă©tapes, soigneusement planifiĂ©e, a donnĂ© de bons rĂ©sultats en convainquant, et non en cajolant, les gens de faire ce qu’il faut et de changer de comportement.

Résumé

M&S est l’un des principaux dĂ©taillants du Royaume-Uni, qui vend des vĂȘtements, des produits alimentaires et des articles mĂ©nagers. En 2006, l’entreprise a dĂ©cidĂ© de placer la durabilitĂ© au cƓur de ses activitĂ©s. Elle a entrepris de transformer tous les aspects de l’entreprise, de l’approvisionnement en produits aux relations avec les fournisseurs, les acheteurs et le reste du monde.

Pour rĂ©ussir, elle devait changer les attitudes et les comportements de chacun de ses 25 millions d’acheteurs. Depuis sa crĂ©ation, elle a franchi trois Ă©tapes distinctes. La premiĂšre Ă©tape, « Look Behind the Label », a permis de sensibiliser et d’approuver toute une sĂ©rie d’initiatives – et la marque elle-mĂȘme.

La deuxiĂšme Ă©tape, le « Plan A », impliquait une rĂ©Ă©valuation plus approfondie de la M&S et dĂ©finissait un plan quinquennal comportant 100 engagements. Au bout d’un an seulement, il avait atteint un grand nombre de ses objectifs et obtenu une reconnaissance significative de la part des leaders d’opinion. Mais il n’a toujours pas modifiĂ© le comportement de l’acheteur moyen.

C’est la troisiĂšme Ă©tape, « Faire ce qu’il faut », qui a permis d’atteindre cet objectif en « normalisant » les objectifs du Plan A et en les exprimant d’une maniĂšre qui semblait juste et appropriĂ©e pour le grand public. En un temps relativement court, les attitudes mesurĂ©es d’un million d’acheteurs ont changĂ©, passant d’une approche passive et dĂ©faitiste Ă  une approche plus activement durable et optimiste.

Faire face Ă  un monde en mutation

Depuis plus d’un siĂšcle, et bien avant que des mots comme « durabilité » n’entrent dans le langage courant, M&S pratique discrĂštement toute une sĂ©rie de pratiques commerciales Ă©thiques. Par exemple :

  • Cent ans de relations Ă  long terme et mutuellement bĂ©nĂ©fiques avec les fournisseurs.
  • Cinquante ans de shopping sans tabac.
  • Quarante-cinq ans de rĂ©frigĂ©rateurs thermostatiques Ă©conomes en Ă©nergie.
  • Une politique de retour inĂ©galĂ©e depuis des gĂ©nĂ©rations.
  • Des Ɠufs de poules Ă©levĂ©es en plein air bien avant que la plupart des gens ne sachent ou ne se soucient de la signification de l’expression « Ɠufs de poules Ă©levĂ©es en plein air ».

Mais les temps ont changĂ©. Au dĂ©but du XXIe siĂšcle, les choses avaient atteint un point tel que, sans mesures draconiennes, il Ă©tait difficile d’imaginer un avenir dĂ©cent pour les gĂ©nĂ©rations futures. Pour M&S, il Ă©tait temps de faire quelque chose de plus en matiĂšre de durabilitĂ©.

En 2006, elle s’est penchĂ©e longuement et sĂ©rieusement sur l’ensemble de ses activitĂ©s Ă©thiques et durables, et a entrepris de les faire passer Ă  la vitesse supĂ©rieure et d’obtenir un soutien en leur faveur. Ses objectifs Ă©taient de changer l’entreprise de fond en comble et, par ce biais, de contribuer Ă  changer des vies et, dans la mesure de ses moyens, de faire ce qu’elle pouvait pour contribuer Ă  changer le monde en mieux. Il ne s’agissait pas d’une solution miracle.

Il n’Ă©tait pas non plus rĂ©aliste de penser qu’il s’agirait d’un projet qui pourrait ĂȘtre entiĂšrement rĂ©alisĂ© ou qui donnerait entiĂšre satisfaction Ă  tout le monde. Un voyage est la meilleure façon de voir les choses. À la fin de 2009, ce voyage avait franchi trois Ă©tapes distinctes. Chaque Ă©tape a permis Ă  M&S et Ă  ses partenaires de s’amĂ©liorer, mĂȘme s’il restait encore beaucoup de chemin Ă  parcourir et qu’il en restera probablement toujours un.

Écouter les clients

Un certain nombre d’Ă©tudes ont Ă©tĂ© menĂ©es pour savoir ce que les consommateurs pensaient de la durabilitĂ© et de l’environnement et, dans l’ensemble, elles coĂŻncidaient. En gĂ©nĂ©ral, 20 % d’entre eux s’en fichent et ne sont pas intĂ©ressĂ©s. Les autres (80 %) dĂ©clarent s’y intĂ©resser – dans une certaine mesure – et pensent qu’ĂȘtre « vert » est la « bonne » ou la « bonne » chose Ă  faire.

Cependant, seule une minoritĂ© (10 %) s’est activement engagĂ©e Ă  faire quelque chose pour y remĂ©dier. La majoritĂ© des personnes interrogĂ©es ont dĂ©clarĂ© qu’elles feraient peut-ĂȘtre quelque chose si cela Ă©tait facile et n’impliquait pas de sacrifices (35%) ou qu’elles ne voyaient pas quelle diffĂ©rence cela ferait de toute façon (35%) (Figure 1). Rendre des millions de consommateurs moins dĂ©faitistes et plus volontaires n’a jamais Ă©tĂ© une tĂąche facile.

Embarquer pour un long voyage

PremiĂšre Ă©tape, 2006 : Regardez derriĂšre l’Ă©tiquette

La premiĂšre Ă©tape a consistĂ© Ă  sensibiliser et Ă  encourager l’approbation. Pour les consommateurs sensibilisĂ©s aux questions sociales et environnementales, « Look Behind the Label » a attirĂ© l’attention sur une sĂ©rie de mesures prises par M&S, de l’approvisionnement en produits issus du commerce Ă©quitable aux teintures textiles respectueuses de l’environnement (figures 2 et 3).

Ce programme a permis d’accroĂźtre la sensibilisation et l’approbation des initiatives de M&S, en particulier parmi les faiseurs d’opinion et les personnes sensibles Ă  l’Ă©thique.

Les points forts sont les suivants :

  • Élu SupermarchĂ© le plus vert de Grande-Bretagne par les consommateurs et le plus populaire auprĂšs des acheteurs soucieux de la sociĂ©tĂ© et de l’environnement.
  • Les preuves recueillies par les analystes de Citigroup suggĂšrent que « Look Behind the Label » est la campagne la plus rĂ©ussie que M&S ait jamais menĂ©e.
  • Le Good Egg Award de Compassion in World Farming pour les Ɠufs de poules Ă©levĂ©es en plein air.
  • En tĂȘte de la ligue du Marine Stewardship Council pour la pĂȘche durable.
  • RSPCA Good Business Awards pour le meilleur dĂ©taillant de mode.

Mais l’entreprise estime qu’il y a encore beaucoup Ă  faire. La sensibilisation et l’approbation des personnes qui se sentent dĂ©jĂ  concernĂ©es par l’Ă©thique et l’environnement est une bonne chose, mais elle ne se traduit pas toujours par des changements tangibles dans le monde. Ce qu’il fallait faire, c’Ă©tait faire passer les gens de la simple sensation Ă  l’action – de la sensibilisation et de l’approbation Ă  l’engagement.

DeuxiĂšme Ă©tape, 2007/8 : Plan A

L’Ă©tape suivante consistait Ă  susciter et Ă  attirer l’engagement. En 2007, aprĂšs un processus impliquant des parties prenantes internes et externes Ă  l’entreprise, M&S a prĂ©sentĂ© son nouveau plan : 100 engagements, rĂ©partis en cinq « piliers », Ă  rĂ©aliser en cinq ans. Il a Ă©tĂ© appelĂ© Plan A parce que, selon l’argument, il n’y avait pas de Plan B. Il devait englober tous les grands problĂšmes de l’entreprise et de l’ensemble de la chaĂźne de valeur. L’aboutissement de tout cela serait une transformation de M&S elle-mĂȘme, de ses pratiques commerciales, de ses relations avec les clients et les fournisseurs et de ses relations avec le monde en gĂ©nĂ©ral. Peu de grands dĂ©taillants, voire aucun, n’avaient fait quelque chose de semblable auparavant.

Les piliers du Plan A Ă©taient :

  1. Changement climatique : rendre les activités de M&S neutres en carbone.
  2. Réduire les déchets : ne pas envoyer de déchets à la décharge en réduisant et en recyclant les sacs et les emballages.
  3. MatiĂšres premiĂšres durables : s’approvisionner en matĂ©riaux les plus durables et renouvelables disponibles.
  4. Être un partenaire Ă©quitable : amĂ©liorer la vie de centaines de milliers de personnes dans la chaĂźne d’approvisionnement, de leurs familles et de leurs communautĂ©s.
  5. SantĂ© : aider des milliers d’employĂ©s et de clients Ă  choisir un mode de vie plus sain.

Le Plan A devait ĂȘtre bien plus qu’une campagne de « bien-ĂȘtre ». Il exigeait un engagement de la part de M&S et de ses clients. Il fallait prendre des dĂ©cisions difficiles. Les gens qui avaient pris l’habitude de recevoir gratuitement autant de sacs en plastique qu’ils le souhaitaient allaient soudainement devoir apporter leurs propres sacs de courses (comme le faisaient leurs mĂšres) ou payer 5 pence par sac. On attendrait d’eux qu’ils comprennent l’intĂ©rĂȘt de cette mesure et qu’ils la considĂšrent comme une bonne chose, plutĂŽt que comme une arnaque ou une nuisance.

Les rĂ©alisations de la phase initiale du Plan A sont remarquables car elles ont permis d’amorcer un processus de changement tangible, notamment :

  • RĂ©duction de 10 000 tonnes d’emballages.
  • DĂ©tournement de 20 000 tonnes de dĂ©chets de la mise en dĂ©charge.
  • Économie de 40 000 tonnes de CO2.
  • Économie de 387 millions de sacs Ă  provisions (soit une rĂ©duction de 83 %).
  • Utilisation de 1 500 tonnes de polyester recyclĂ© (soit l’Ă©quivalent de 37 millions de bouteilles).
  • Les ventes de produits biologiques en 2007/2008 ont augmentĂ© de 40% par rapport Ă  2006/2007.
  • Économie de 100 millions de litres d’eau.
  • A gĂ©nĂ©rĂ© 15 millions de livres pour des associations caritatives, dont 1,6 million de livres pour Breakthrough Breast Cancer et 600 000 livres pour l’Ă©ducation de 15 000 enfants en Ouganda.

En outre, la reconnaissance des faiseurs d’opinion a continuĂ© de croĂźtre. Non seulement l’entreprise a reçu toute une sĂ©rie de prix environnementaux et Ă©thiques, mais elle a Ă©galement rĂ©ussi Ă  obtenir une participation importante des faiseurs d’opinion au projet Plan A Climate Change Quilt. Plus de 5 000 personnes ont contribuĂ© au site Web, notamment des messages de Twiggy, Myleene Klass, Jemima Khan, Geri Halliwell, Tom Aikens, Philip Glenister, Noemie Lenoir, Zac Goldsmith et Sir lan Botham, ainsi que des cadres supĂ©rieurs d’organisations caritatives telles que le WWF et Oxfam.

Mais il restait encore beaucoup Ă  faire. Le Plan A a suscitĂ© des niveaux d’engagement et de participation extrĂȘmement Ă©levĂ©s, tant chez le personnel que chez les publics internes et les « croisĂ©s verts », et a permis aux gens en gĂ©nĂ©ral de se sentir mieux dans l’entreprise. Cependant, il n’a pas rĂ©ussi Ă  convaincre suffisamment de clients ordinaires de changer leurs attitudes et leur comportement de maniĂšre significative. Beaucoup de gens ne comprennent toujours pas le Plan A. Ils soupçonnent que la politique des sacs Ă  5 pence est une façon astucieuse de profiter Ă  M&S – malgrĂ© le fait que les bĂ©nĂ©fices soient reversĂ©s Ă  une organisation caritative environnementale. Il faut faire davantage pour changer les attitudes et les comportements de la population.

TroisiĂšme Ă©tape, 2009 : Plan A : Faire ce qu’il faut

Il s’agissait d’aller vers le grand public et d’atteindre les personnes qui n’Ă©taient pas des « Green Crusaders » actifs et engagĂ©s et qui se sentaient plus heureux d’ĂȘtre Ă  l’aise, de s’intĂ©grer et de faire ce qui est gĂ©nĂ©ralement considĂ©rĂ© comme normal, acceptable et juste. Mais « normal, acceptable et juste » est une norme mouvante. Il y a vingt ans, les gens s’asseyaient avec leurs enfants dans des bus et des wagons remplis d’un Ă©pais brouillard de fumĂ©e de cigarette et personne n’y rĂ©flĂ©chissait Ă  deux fois. Il y a vingt ans, les gens achetaient des Ɠufs de poules Ă©levĂ©es en batterie, et quiconque faisait des histoires sur l’Ă©levage en plein air Ă©tait considĂ©rĂ© comme un peu bizarre.

Prix et reconnaissance 2008 pour le Plan A

  • MĂ©daille d’or du Centre mondial de l’environnement pour les rĂ©alisations internationales des entreprises en matiĂšre de dĂ©veloppement durable 2008
  • Prix britannique des Ă©nergies renouvelables – Prix du pionnier
  • Prix d’excellence en matiĂšre de durabilitĂ© dĂ©cernĂ© par Property Executive (Pollok Store)
  • Retail Interior Award – Magasin vert de l’annĂ©e (Bournemouth)
  • Prix 2008 de la RSPCA – Gagnant du prix des cosmĂ©tiques, du prix de l’engagement permanent en faveur du changement, du prix de la mode, du prix du meilleur grand dĂ©taillant et du prix de l’alimentation, du prix du meilleur supermarchĂ©.

Prix et distinctions 2009 pour « Doing the Right Thing » (agir correctement)

  • Co-laurĂ©at du classement 2009 des supermarchĂ©s « Green to the Core » de Consumer Focus.
  • Prix du leadership dans le secteur de la vente au dĂ©tail 2009, Greener Package Awards
  • Prix de l’engagement dans la mode 2009, RSPCA Good Business Awards
  • 2009 Gagnant du tableau de rĂ©frigĂ©ration des supermarchĂ©s de l’Agence d’investigation environnementale
  • 2009 Gagnant du classement des pesticides des supermarchĂ©s du Royaume-Uni Ă©tabli par le Pesticide Action Network.
  • 2009 DĂ©taillant le plus Ă©thique, prix du magazine Cosmopolitan
  • Champion du recyclage dans les grandes rues 2009, prix Letsrecycle.com
  • Initiative environnementale de l’annĂ©e dans le cadre des International Wine Challenge Awards 2009
  • Top 100 des entreprises les plus Ă©thiques du monde selon Ethisphere
  • Analyse rĂ©guliĂšre du dĂ©partement SDI montrant que M&S est le dĂ©taillant le plus Ă©thique/vert.

M&S avait besoin de trouver comment :

  1. Normaliser le plan A. Cela signifie recadrer ou repositionner les engagements de maniĂšre Ă  ce qu’ils soient perçus par le grand public comme le choix « par dĂ©faut » de personnes normales et bien-pensantes comme vous et moi, plutĂŽt que comme le cheval de bataille actif de personnes vĂȘtues d’arc-en-ciel avec des dreadlocks qui vivent dans des yourtes et construisent leurs propres Ă©oliennes avec des morceaux de vieux vĂ©los.
  2. Parlez des avantages. Il fallait en faire une situation gagnant-gagnant, et non la considĂ©rer comme un sacrifice puritain. L’alimentation et la mode Ă©thiques devraient stimuler les dĂ©sirs de quelqu’un d’abord et sa conscience ensuite.

L’idĂ©e de « normalisation », lorsqu’elle est apparue, est venue des consommateurs eux-mĂȘmes. Dans les recherches, la mĂȘme phrase revenait sans cesse : Faire la bonne chose. Comme dans « Je veux juste faire ce qu’il faut ». Il existe un grand nombre de personnes qui peuvent dĂ©cider, ou non, de prendre part Ă  ce que l’on appelle le « plan A », mais il y a trĂšs peu de personnes qui ne veulent pas ĂȘtre perçues comme faisant « ce qu’il faut ».

En d’autres termes, l’argument qui sous-tendait la campagne est passĂ© de l’objectivisme (« C’est un fait que nous devons traiter ces questions ») Ă  l’approbation (« Toutes les personnes sensĂ©es pensent que c’est une bonne chose Ă  faire, et elles se sentiraient bien avec vous si vous le faisiez »).

Cela donnait l’impression d’ĂȘtre beaucoup plus convivial et normal. Il fallait ensuite faire en sorte que cela ne soit pas seulement normal et amical, mais aussi dĂ©sirable, et pour cela, il y avait une politique de communication dĂ©libĂ©rĂ©e qui consistait Ă  toujours utiliser le slogan « Faire la bonne chose » en combinaison avec des exemples des avantages et des plaisirs offerts par la qualitĂ© M&S (Figures 4 et 5).

Cette troisiÚme étape a donné lieu aux réalisations suivantes :

  • Le processus de changement d’attitude et de comportement de la population a commencĂ©, aboutissant Ă  une attitude moins dĂ©faitiste, avec un million d’acheteurs supplĂ©mentaires prĂȘts Ă  faire quelque chose (figure 6).
  • Poursuite de la rĂ©duction de l’utilisation des sacs de caisse, en Ă©liminant 400 millions de sacs et en collectant 1,2 million de livres pour son partenaire, l’organisation caritative de rĂ©gĂ©nĂ©ration de l’environnement Groundwork.
  • Plus d’un million de personnes ont fait don de vĂȘtements M&S Ă  Oxfam et ont rĂ©cupĂ©rĂ© leur bon d’achat. 3,2 millions de vĂȘtements M&S ont Ă©tĂ© recyclĂ©s et 2 millions de livres sterling ont Ă©tĂ© collectĂ©es pour Oxfam.

M&S s’est lancĂ© dans un voyage dont l’objectif Ă©tait de construire une entreprise meilleure qui amĂ©liore les vies, change les attitudes et les comportements et rende notre mode de vie meilleur et plus durable. Bien qu’il s’agisse d’un voyage probablement sans fin, les trois premiĂšres Ă©tapes ont donnĂ© des rĂ©sultats remarquables.

Le programme d’Ă©change de vĂȘtements d’Oxfam

Il s’agissait de la plus grande initiative de recyclage de vĂȘtements du Royaume-Uni. Les clients Ă©taient encouragĂ©s Ă  faire don de leurs vieux vĂȘtements M&S Ă  Oxfam, en Ă©change de quoi ils recevaient un bon de 5 ÂŁ. Les gens se sentaient vertueux d’avoir fait ce qu’il fallait, heureux de leurs 5 ÂŁ et satisfaits de la qualitĂ© de M&S aprĂšs avoir appris que les vĂȘtements qu’ils avaient donnĂ©s avaient une grande valeur pour Oxfam car ils Ă©taient bien faits et durables.


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« Merci pour cet accompagnement lors de notre crĂ©ation d’offre de services pour le lancement de notre entreprise Ekloria. Ce fut un rĂ©el plaisir de travailler ensemble. Le projet devrait Ă©clore courant septembre 2021 đŸ˜‰Â«Â 

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